Jimdo permet à tout le monde de créer son site internet très facilement, même sans connaissance informatique particulière. Sélectionner un design, le personnaliser en quelques clics, ajouter différents contenus, et voilà !
Inscrivez-vous maintenant sur fr.jimdo.com et commencez tout de suite à créer votre site gratuitement.
Vidéo Nocturnes littéraires
|
Search | About | Preferences | Interact | Help |
|
Search Results (Matching Titles) |
Haut du formulaire Go Bas du formulaire |
Searching for books where
Author is brice saint cricq
Book is written in English
Click to pick a title or view all matches combined (new feature)
Haut du formulaire
Bas du formulaire
Haut du formulaire
Bas du formulaire
BRICE SAINT-CRICQ
Brice Saint Cricq
Saint Cricq Brice
Haut du formulaire
Bas du formulaire |
|
|
Search | About | Preferences | Interact | Help |
|
Search Results (Matching Titles) |
Haut du formulaire Go Bas du formulaire |
Searching for books where
Author is brice saint cricq
Book is written in Dutch
Click to pick a title or view all matches combined (new feature)
Haut du formulaire
Bas du formulaire
Haut du formulaire
Bas du formulaire
Brice Saint Cricq
Saint Cricq Brice
Haut du formulaire
Bas du formulaire |
|
Haut du formulaire
Bas du formulaire |
Haut du formulaire
Bas du formulaire |
|
Search | About | Preferences | Interact | Help |
|
Search Results (Matching Titles) |
Haut du formulaire Go Bas du formulaire |
Searching for books where
Author is brice saint cricq
Book is written in Spanish
Click to pick a title or view all matches combined (new feature)
Haut du formulaire
Bas du formulaire
Haut du formulaire
Bas du formulaire
Brice Saint Cricq
Saint Cricq Brice
Haut du formulaire
Bas du formulaire |
|
Haut du formulaire
Bas du formulaire |
Haut du formulaire
Bas du formulaire |
|
Search | About | Preferences | Interact | Help |
|
Search Results (Matching Titles) |
Haut du formulaire Go Bas du formulaire |
Searching for books where
Author is brice saint cricq
Book is written in Italian
Click to pick a title or view all matches combined (new feature)
Haut du formulaire
Bas du formulaire
Haut du formulaire
Bas du formulaire
Brice Saint Cricq
Saint Cricq Brice
Saint-Cricq Brice
Haut du formulaire
Bas du formulaire |
|
Haut du formulaire
Bas du formulaire |
Haut du formulaire
Bas du formulaire |
Book
search |
Extras |
"Questionnaire de Proust à propos de Brice Saint Cricq"
(connais-toi toi-même) Gnôthî Seautón
Le principal trait de votre caractère ?
La curiosité, la générosité, l’esprit de synthèse
La qualité que vous préférez chez un homme ?
L’authenticité
Et chez une femme ?
Sa capacité d’intuition
Le bonheur parfait, selon vous ?
Partager des moments simples en famille, avec celles et ceux que j’aime; ma famille nucléaire
Où et à quel moment de votre vie avez-vous été le plus heureux ?
À la naissance de ma fille et de mes deux petits-enfants
Votre dernier fou rire
Un dîner en tête à tête aux chandelles
Et la dernière fois que vous avez pleuré ?
Pour une femme
Votre film culte ?
Autour de minuit
Le professionnel
Votre occupation préférée ?
L’écriture, la littérature, la peinture, la musique de jazz, la Groove, l’égyptologie,
Les danses Afro-latines: Salsa, Bachata, Kizomba
Votre écrivain favori ?
Albert Camus
Gustave Flaubert
Arthur Rimbaud
Votre livre de chevet ?
L’étranger – Camus
Salammbô - Gustave Flaubert
Le bateau ivre
Votre héros ou héroïne dans la vie ?
La liberté, au sens où l'entend Joseph Proudhon
Et la figure historique que vous admirez ?
Gandhi « Nous devons être le changement que nous voulons voir dans le monde… »
Einstein « l’illusion entre le présent, le passé et le futur n’existe pas si tenace soit-elle… »
Votre héros de fiction ?
Mâtho (Salammbô)
Votre musicien préféré ?
Mozart pour le classique ;
Stan Getz, Buddy Rich, Dexter Gordon, Kenny Barron, Petrucciani, Toots Thielemans, Archie Shepp, Victor Lewis, Dennis Mackrel, Ben Riley, Buster Williams et Miles Davis et le saxophoniste ténor Chad Lefkowitz-Brown dit Chad LB pour le jazz
Depuis l'âge de quinze ans, à la parution en mai 1963 de l'album de Dexter Gordon "Our man in Paris", je vis avec la musique de jazz.
Eddy Mitchell et sa tribu de musiciens pour la variété;
Earth, Wind & Fire pour la groove
Average White Band; Mario Biondi; Ray Charles pour la soul
Le monstre sacré Chucho Valdes pour le jazz afro-cubain
La maestria à la batterie (on drums) André Ceccarelli
La chanson que vous sifflez sous votre douche ?
Night in Tunisia ; le blues du blanc ; Claudia
Votre couleur préférée ?
Le parme et le pourpre
Votre boisson préférée ?
Le Châteauneuf-du-Pape (rouge), Château La Gardine (rouge)
Que possédez-vous de plus cher ?
Mes très proches
Les fautes pour lesquelles vous avez le plus d'indulgence ?
Celles à venir
Qui détestez-vous vraiment ?
Le racisme, l'antisémitisme, l'homophobie ; celui qui s’érige en juge; les absurdités et l'illogisme kafkaïen de l'administration d'Etat trop souvent péremptoire et sans recours.
Si vous deviez changer une chose dans votre apparence physique ?
Je suis bien dans ma peau
Quel serait votre plus grand malheur ?
La perte d’un être cher
Et votre plus grande peur ?
Subir une longue maladie dégradante
Votre plus grand regret ?
Le divorce de mes parents
Mon propre divorce
Qu'avez-vous réussi de mieux dans votre vie ?
Ce qui reste à venir ; mon couple plus de cinquante années durant ; ma fille; et mes petits-enfants.
Votre devise ?
Cultive ta volonté, rien ne te sera impossible (Roger Martin du Gard)
[…] Et c’était
merveille de voir
La main blanche et la blanche patte
S’ébattre dans l’ombre du soir. […]
Poèmes saturniens. Verlaine
Le portrait chinois
Si j'étais un animal ?...
Le dauphin
Si j'étais une couleur ?...
Le parme
Si j'étais une saison ?...
L’été
Si j'étais une qualité ?...
L’ouverture d’esprit
Si j'étais un défaut ?...
Le mensonge
Si j'étais une chanson ?...
Mourir d’aimer
Si j'étais une ville ?...
Marseille
Si j'étais un livre ?...
Un roman
Si j'étais un crime ?...
Passionnel
Si j'étais un prénom ?...
Le mien
Si j'étais un adjectif ?...
romantique
Si j'étais un sentiment ?...
La passion
Si j'étais un film ?...
le professionnel
Si j'étais un sport?...
La voile
Si j'étais un parfum ?...
Eau de parfum Intense d’Azzaro
Si j'étais une boisson ?...
Le café
Si j'étais une date ?...
La Saint-Jean d’été
Si j'étais un instrument de musique ?...
Le saxophone ténor ; la batterie
Si j'étais un pêché capital ?...
La luxure
Si j'étais un plat ?...
La bouillabaisse
Si j'étais un fruit ?
Le fruit de la passion - maracuja
Si j'étais un jour de la semaine ?...
Samedi
Si j'étais une devise ?...
Aide-toi, le ciel t’aidera
Si j'étais un élément ?...
Le vent
Si j'étais moi ?...
Polis ta pierre
https://www.amazon.ca/Best-Sellers-Kindle-Store-Soufisme/zgbs/digital-text/5796030011/ref=zg_bs_nav_kinc_5_5796027011
http://www.abebooks.com/servlet/SearchResults?an=brice+saint+cricq&sts=t CANADA
http://www.alibris.com/booksearch?keyword=Brice+Saint+Cricq&qsort=a USA Canada
https://www.amazon.ca/Best-Sellers-Kindle-Store-Livres-sur-lislam/zgbs/digital-text/5796027011#4
CANADA
http://library.alibris.com/booksearch?wtit=&wauth=Brice+Saint+Cricq&wquery=&x=45&y=16 USA Canada
http://www.abebooks.com/servlet/SearchResults?an=brice+saint+cricq&sortby=96&sts=t Canada
"Couvertures des livres de Brice Saint Cricq"
Après avoir apposé le modèle {{suppression}} sur une page, suivez ces étapes :
Brice Saint Cricq |
|
Nom de naissance |
Saint Cricq |
Autres noms |
Saint Cricq, Brice |
Activité(s) |
|
Naissance |
|
Langue d'écriture |
|
Brice Saint Cricq est un écrivain français, né le 30 novembre 1948 à Carpentras (Vaucluse) à la maternité de Carpentras (Vaucluse boulevard Émile Zola. Enfant en bas âge, il quitte très tôt le terroir ancestral du Comtat Venaissin pour rejoindre Tunis (Tunisie) et sa proche famille pour vivre à Khélidia et Depienne à une soixantaine de kilomètres de Tunis (Tunisie).
Sommaire[masquer] |
Fils d’Antoine et Henriette, mariés le 22 octobre 1947, Brice Saint Cricq naît dans une famille de provençaux, le 30 novembre 1948. Il est l’aîné d’une sœur "Jacqueline" née le 17 mars 1952.
Pendant près de vingt ans, son enfance et son adolescence se déroulent à Tunis (Tunisie], au 37 avenue Jules Ferry (puis avenue H. Bourguiba), et dans les grands espaces du Tell tunisien, dans la vaste plaine céréalière du Zaghouan. Il acquiert très vite la double culture en suivant l’enseignement bilingue en français et en arabe à l’École d’Application, rue de Colmar à Tunis, puis au lycée de Carthage. Quelques souvenirs d'école lui reviendront en mémoire : « […] Pour la première année on me faisait ânonner les lettres de l’alphabet arabe. Nous récitions en chœur les mots et les phrases simples de fables orientales qui cabriolaient en gros caractères dans des livres d’images naïves, après les avoir gribouillés sur nos ardoises. […] À ce propos, par l’habitude et l’école, je parlais maintenant l’arabe littéraire plus que dans les phrases usuelles auxquelles s’étaient ajoutés la grammaire, l’apprentissage de la phonétique […]» Mémoire salée, Édition épuisée, 2004, roman autobiographique Éditions société des écrivains, 2005. Sa scolarité se poursuit à l’Ariana, au lycée de Carthage et chez les Maristes. Il lit énormément : Flaubert, Proust, Camus, Paul Morand et de grands auteurs américains : William Faulkner, Ernest Hemingway, Vladimir Nabokov, William S. Burroughs, un peu Fitzgerald, et puis Sartre ; plus tard des textes de Spinoza, Nietzsche, [[Martin Heidegger |Heidegger]].Sa curiosité se développe dans des domaines aussi divers que la théologie, la philosophie, la peinture, la musique de jazz. De retour en France, en 1968, après un échec au baccalauréat et une saison de révisions intenses, il réussit son examen et décroche en 1972 un deuxième degré de langue arabe écrite et parlée 3ème cycle au C.L.E.M de l’École Militaire de Paris.
En 2004 paraît ''[[Mémoire salée (roman)|Mémoire salée]]'' (un titre qui aurait pu plaire à un Saint John Perse est à lui tout seul une parabole du roman où se mêlent sentiments et exotisme). Suivent d'autres ouvrages : ''[[Le sabot de Vénus (roman)|Le sabot de Vénus]]'' (retour aux sources, pouvoir d’évocation d’une Provence dont il n’hésite pas à revisiter des lieux qui lui ont été familiers). Dans le même temps, il rédige en français et en arabe, un essai philologique d’ambition sur la langue du Coran : ''[[Le verbe démasqué (essai)|Le verbe démasqué]]'' puis ''[[Hasard de l’éphémère (roman)|Hasard de l’éphémère]]'' (récit débridé sur l’adultère et une réflexion sur le sida), ''[[Pétra, le testament des korrigans (roman)|Pétra, le testament des korrigans]]'' (thriller psychologique en équilibre avec le conte fantastique), ''[[Olinda, la lumière dérobée (roman)|Olinda, la lumière dérobée]]''(ici, l’auteur narre à travers l’histoire d’un jeune greffé de la société dorée de Miami, celle plus âpre d’une enfant des rues de Sao Paulo, enlevée pour trafic d’organes), ''[[Le violon de Montmartre(roman)|Le violon de Montmartre]]'' (thriller ésotérique hautement toxique au sein d'une loge maçonnique), ''[[Nocturne tango(roman)|Nocturne tango]]'' (récit sentimental et pathétique dans la cité phocéenne). « [[Identités croisées (thriller)]] Identités croisées» ]], [[Le baiser de l’orchidée (roman) Le baiser de l’orchidée]], [[Les amants de Cocody (roman pathétique, loufoque, Afrodisiaque)]], [[La gazelle blanche (roman de mœurs sur la polygamie)]], [[Vendetta au paradis (thriller)]], [[Sous influence(roman)]], [[Seconde vie (roman)]], [[La Voie de l’Élu (essai bilingue arab/fra)]], [[Une pluie de mangues sur Cocody (roman)]], [[Le brocanteur de la rue Longue-des-Capucins(roman)]], [[l’Émile et le coudrier inspiré(roman)]], [[Le Coran dans le verbe (essai, fra/arab)]], [[La Voie de l’Élu II (essai bilingue,fra/arab)]]
* «Mémoire salée » (S.d.E [[2004]])
* «Le sabot de Vénus » (S.d.E [[2005]])
* «Le verbe démasqué » (S.d.E [[2005]])
* «Hasard de l’éphémère » (le Manuscrit [[2006]])
* « [[Pétra, le testament des Korrigans]] » (le Manuscrit [[2007]])
* « Olinda, la lumière dérobée » (le Manuscrit [[2008]])
* « Le violon de Montmartre »(Aparis [[2008]])
* « Nocturne tango » (Aparis[[2009]])
* « Identités croisées » (Aparis[[2010]])
* « Le baiser de l’orchidée » (Aparis[[2011]])
* « Les amants de Cocody »[Aparis[[2012]])
* « La gazelle blanche » [Aparis[[2013]])
* « Vendetta au paradis » [Aparis[[2014]])
* « Sous influence » [Aparis[[2014]])
* « Seconde vie » [Aparis[[2015]])
* « La voie de l’Élu » [Aparis[[2015]])
* « Une pluie de mangues sur Cocody » [Aparis[[2016]])
* « Le brocanteur de la rue Longue-des-Capucins » [Aparis[[2017]])
* « l’Émile et le coudrier inspiré » [Aparis[[2018]])
* « Le Coran dans le verbe » [Independently published[[2018]])
* « La Voie de l’Élu II » [ Independently published [[2018]])
* " Les sentiers de la compassion" [Independently published [[2018]]
* " Mauvais sort" [Independently published [[2019]]
* "Talons aiguilles" [Independently published [[2019]]
* "Le lézard -opération Homo" [Independently published[[2019]]
* "Métastases " [Independently published [[2020]]
* "Les infortunes d'un adultère" [Independently published[[2020]]
* "La lumière ensanglantée" [[kdp[[2020]]
* "La Mère du Coran" [[kdp[[2020]]
Bibliothèque nationale de France
Saint Cricq, Brice Mémoire salée [Texte imprimé] : roman / Brice Saint Cricq. - Paris (147-149 rue Saint-Honoré, 75001 ) : Société des Écrivains, 2004 (37-Monts : Impr. Présence graphique). - 217 p. : couv. ill. en coul. ; 21 cm. DLE-20040318-12902. - ISBN 2-7480-1557-6 (br.)
BN 39146235 04-15528
Saint Cricq, Brice Le sabot de Vénus [Texte imprimé] : roman / Brice Saint Cricq. - Paris (147-149 rue Saint-Honoré, 75001 ) : Société des Écrivains, DL 2005 (37-Monts :
Impr. Présence graphique). - 1 vol. (158 p.) : couv. ill. ; 21 cm. DLE-20050906-41142. - ISBN 2-7480-2587-3 (br.)
BN 40030306 05-50702
Saint Cricq, Brice Le verbe démasqué [Texte imprimé] : essai : étude philologique sur 56 versets du saint Coran, 4 haddîth [sic] / Brice Saint Cricq. - Paris (147-149 rue
Saint-Honoré, 75001 ) : Société des Écrivains, DL 2005 (37-Monts : Impr. Présence graphique). - 1 vol. (144 p.) : couv. ill. ; 21 cm. Texte en français accompagné du texte des
versets et des hadiths en arabe, arabe translittéré et français. - DLE-20060214-7676. - ISBN 2-7480-2719-1 (br.) - EAN 9782748027198.
BN 40112407 06-17291
Saint Cricq, Brice (1948-....) Le violon de Montmartre [Texte imprimé] : roman / Brice Saint-Cricq. - Paris (56 rue de Londres, 75008 ) : Édilivre-Éd. Aparis, impr. 2008 (59-Lille : Impr. Sprintoo). - 1 vol. (217 p.) : couv. ill. ; 21 cm. Glossaire. - DLE-20080516-26762. - ISBN 978-2-35607-244-3 (br.) : 17 EUR. - EAN 9782356072443.
BN 41256800
Dictionnaire des titres des livres, page 82, section 2
Livre : MÉMOIRE SALÉE Auteur : SAINT CRICQ Brice Editeur : Société des écrivains – Parution le 02/03/2004
Dictionnaire des auteurs/écrivains des livres page 97, section 28 Livre : MÉMOIRE SALÉE Auteur : SAINT CRICQ Brice Editeur : Société des écrivains – Paru le 02/03/2004
Bibliographie nationale française Cumulatif 2005 page 308 Index des auteurs personnes physiques Saint Cricq, Brice 50702
Type : texte imprimé, monographie |
|
||||||||
http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb42398299h/PUBLIC
|
|||||||||
Type : texte imprimé, monographie |
|
||||||||
http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb42033735p/PUBLIC
|
|||||||||
Type : texte imprimé, monographie |
|
||||||||
http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb42210822t/PUBLIC
Saint Cricq, Brice (1948-....)
Saint Cricq, Brice
(1948-....)
Auteur(s) : Saint Cricq, Brice (1948-....) Titre(s) : Seconde vie [Texte imprimé] / Brice Saint Cricq Publication : Saint-Denis : Édilivre, DL 2015 Impression : 59-Roubaix : Impr. Sobook Description matérielle : 1 vol. (345 p.) ; 21 cm
Numéros : ISBN 978-2-332-92357-8 (br.) : 24 EUR
Notice n° : FRBNF44482066 |
|||||||||
Ce document provient de « http://fr.wikipedia.org/wiki/Brice_Saint_Cricq ».
Catégorie : Écrivain français du XXe siècle | [+]
Heure d'été, heure d'hiver ! De tout temps, les hommes ont aimé jouer avec le temps. Ci-après quelques réflexions décalées sur « le temps » :
Lors du passage du calendrier Julien au calendrier Grégorien, le Jeudi 4 octobre 1582 devint subitement la veille du Vendredi 15 octobre 1582 !
Aurions-nous perdu la notion du temps (?).
Par ce bond de dix jours solaires dans l'année tropique, Grégoire XIII aurait-il voulu maîtriser le temps et aller avant Proust « à la recherche du temps perdu » ou comme l'aura souhaité plus tard le
poète, aurait-il voulu suspendre son vol (?).
L'aurait-il voulu, qu'il ne le pût.
De cette équation spatiale du temps solaire moyen, toute pontificale autant qu'arbitraire ̶ et, délicieusement dérisoire au regard du temps
sidéral et plus encore du temps pur ̶ , ainsi en sont allés les usages de la vie courante et les contingences de notre monde terrestre qui vit au rythme du IIIème millénaire de l’ère
vulgaire (l’ère chrétienne) ; alors même que bien d'autres calendriers se faisant l'écho des querelles entre les religions ponctuent pour chacune d'elles, le temps, selon sa propre genèse,
l'avènement de sa propre Révélation.
Ainsi, les Russes Orthodoxes, les Grecs et les Chrétiens Orientaux en sont restés au calendrier Julien dont l'an I de la période Julienne se situe en 4717
avant l'ère vulgaire ; les Hébreux vivent en 5774 ; le monde musulman vit au rythme du calendrier lunaire de l'Hégire en 1434 ; les Bouddhistes sont en 2508 ; les Hindouistes en 5114; les chinois
en sont en l'année du Serpent 2233 ; les Perses en 1392 ; quant au calendrier Maya né au IIIe millénaire avant Jésus-Christ, il s'arrête au solstice d'hiver du 21 décembre 2012 et clôture la fin
d'un cycle avec l'avènement de l'apocalypse : les planètes alignées, leurs forces cumulées nous promettaient de tirailler le globe terrestre, de déclencher séismes, éruptions volcaniques,
invasion des champs magnétiques, tempêtes solaires... Peu importe les oracles Mayas, les indiens Hopis d'Arizona, les Sumériens, Jean de Jérusalem, le calendrier Yi Jing ont aussi prédit
l'apocalypse pour 2012. Comprenons plutôt dans le mot « apocalypse » un changement de cycle.
Qu'est-ce à dire de toutes ces orchestrations humaines du temps, apprivoisé, mesuré par l'espace ̶ dont certaines, d'ailleurs, s'affranchissent
de la rigueur astronomique ̶ , « concept bâtard » qui selon Bergson « défigure le temps réel » ̶ , sinon que rien ne nous exonère de prendre le temps de la réflexion à
propos de ce temps qui s'égrène en infinitude intemporelle, insaisissable, complexe et invisible, et de nous poser à son sujet la vraie question duelle, métaphysique autant que socratique
:
̶ Quelle est sa vraie nature (?).
̶ Faut-il croire à sa réalité objective (?).
Saint Augustin écrit dans le livre XI de ses Confessions : « Le monde a été fait non dans le temps, mais avec le temps. »
Même si comme il est probable nous ne pourrons par le seul exercice de notre raison y apporter de réponse en toute certitude ̶ pouvons-nous
espérer par notre modeste réflexion donner lieu à quelques présomptions intéressantes.
Pour quiconque s'interroge, le temps peut apparaître à notre insu comme un phénomène a priori linéaire où l'idée s'en présente en succession de durée ou
période juxtaposée ̶ d'autant plus sensible et pesante qu'elle se vide et s'appauvrit -, ce que nous révèle la pesanteur entre l'activité et l'oisiveté ̶ , et c'est là
probablement un mirage, un artifice de notre conscience !
Héritage singulier et propre à l'Homme que cette conscience !
Voici l'Homme, produit d'une lente et hasardeuse transformation à partir d'espèces animales doté par l'évolution d'un cortex cérébral : l'avènement de la
noosphère chère à Teilhard de Chardin ̶ , l'Homme devenu sapiens par son cortex cérébral superposé à sa mémoire reptilienne prend en effet conscience d'un passé, d'un présent et d'un
futur.
C'est là une donnée essentielle de la conscience.
L'idée de présent se conçoit et se présente à nous avec un avant et un après et, s'y associe dès lors l'espace et la notion d'infini ̶ ce
qu'illustrera Bergson dans « les données immédiates de la conscience ».
Plus tard, Auguste Comte, autre éminent philosophe, qualifiera « d'âge positif » le terme de l'évolution de l'esprit humain avec la prééminence de
l'esprit scientifique comme forme la plus aboutie.
Dès lors, il nous sera permis de penser que cette illusion d'un avant, d'un après, est une représentation objectivement fausse de la réalité du temps
pur ̶ à laquelle notre intérêt est attaché plus que tout pour peu qu'elle nous protège de l'agression de la vérité sur la mort.
Cette illusion, en effet, nous réconforte devant notre impuissance tragique et nous permet d'échafauder face au temps pur, les scénarios les plus échevelés
pour nous croire immortels.
C'est tout le mythe du retour auquel croyaient les stoïciens.
Pourtant, la continuité apparemment cyclique du temps nous le fait imaginer comme un cercle en perpétuelle et invisible rotation. Déjà, symboliquement, dans
leur livre des morts, les Égyptiens le décrivent comme : « Le cercle de la roue du chariot qui annonce
la mort du serpent qu'elle écrase de sa jante. » De même, l’Ouroboros, serpent de la légende Grecque qui
se mord la queue, symbole du passé, du présent et du futur ̶ traduit l'icône d'un cercle.
Mais dans le même temps, n'est-il pas à remarquer que nous le percevons, nous le pressentons comme la constante de l'équation de toute chose ̶
nous sentons bien qu'il est le cadre constant irréductible et irréversible qui irradie l'expérience de notre vécu. Nous pressentons qu'il nous conditionne en boucle et nous plie aux
caprices du sort ̶ le scientifique dirait : « du chaos et du hasard » ̶ , autant qu'il nous livre aux assauts implacables d'un inéluctable destin.
Tout à la fois, il engendre, dévore et aboli tout, toujours et partout ; il déforme notre souvenir, altère ou réduit notre mémoire ; fait périr les preuves
et en affaiblit la vérité, restant insaisissable, rien ne lui échappe, aucun ni rien ne peut s'y soustraire.
L'Ecclésiaste note avec amertume : « Le sage meurt aussi bien que le fou. »
Les modernes l'ont représenté dans des allégories sous les traits d'un vieillard décharné, ayant deux ailes pour marquer sa rapidité tenant un faux symbole
de sa force destructrice et un sablier emblème de l'écoulement continuel.
« Panta Rhei » : « tout s'écoule », proclamait
Héraclite.
Quelle est sa vraie nature (?).
Faut-il croire à sa réalité objective (?), disions-nous.
Instruit de ses travaux sur la théorie générale de la relativité, il convient de nous rappeler l'aphorisme d'Einstein, extrait d'une correspondance adressée
à la famille de son feu ami et collaborateur Michele Bosso disparu cinquante ans plus tôt. Le contexte de cette citation est poignant lorsqu'on sait qu'Einstein mourut un mois plus
tard.
Le savant écrivait : « Il est parti de ce monde étrange un peu avant moi. Cela ne signifie rien. La distinction entre passé, présent et futur n'est qu'une
illusion, aussi tenace soit-elle. Le temps ajoute-t-il, n'est pas ce qu'il semble être. Il ne s'écoule pas dans une seule direction et le passé et le futur sont simultanés.»
Citation éloquente où l'esprit du scientifique avec sa vision critique et rigoureuse fait écho à la non moins pertinente proposition de Platon. À quelques
siècles de distance, « ce qui ne signifie rien » insisterait Einstein ̶ en effet, l'Homme de l'Académie, émule de Socrate enseigne déjà dans le Timée : « Ce que nous
appelons le temps n'est autre que le reflet mouvant et irréel de l'éternité.»
Sauf qu'à un iota près entre « illusion » et « reflet mouvant et irréel » l'apparente symbiose de la formulation du physicien avec
celle du penseur antique ne saurait nous faire oublier la vraie nature du temps réel : son irréversibilité, son indivisibilité et l'idée de mouvement contenue dans la simultanéité définie par
Einstein.
Faut-il croire à la réalité objective du temps (?), disions-nous.
Le temps existe-t-il dans les choses où est-il simplement une relation, un mode subjectif de représentation du monde par notre conscience (?).
Pour Newton le temps absolu, vrai, mathématique serait celui sans relation avec l'extérieur et s'écoule uniformément. Il serait un attribut de Dieu par la
notion d'infini des choses qu'il suggère.
À cet égard, au parvis des temples d'Isis, l'esclave criait l'heure d'après la clepsydre ou le cadran solaire, et les mythologies comme les religions ont
depuis toujours intégré le temps comme une dimension divine et ont instauré dans leur panthéon « un maître du temps » : Dans l'antique Babylone, Nabu, Dieu des scribes mais aussi scribe
du temps avait seul la charge d'inscrire dans le livre de l'éternité les faits passés et à venir ; c'est aussi, le Janus latin à deux visages tournés vers le passé et vers l'avenir ; le Thot des
Égyptiens qui mesure les temps lunaires ; le Chronos des Grecs; le Saturne des Romains ; Le Dagda celtique ; les Nornes scandinaves ̶ vierges qui président au passé, présent et futur
; c'est encore pour l'islam duodécimain dans l'attente messianique, le Muhammad-al-mahdi, douzième et dernier imam, ce maître du temps « sahib az-zamman » qui précédera Issa-Jésus lorsque les
temps seront accomplis.
Leibniz dans sa correspondance polémique avec Clarke, disciple de Newton, n'accorde pas de réalité absolue au temps en dehors des choses et
des événements ̶ , il le réduit à « l'ordre des phénomènes successifs » d'où la simultanéité est
exclue.
Pour Kant, il n'est pas davantage possible de considérer le temps comme une réalité absolue. Dans cette critique de l'infini, Kant considère le
temps non comme un concept mais comme une forme a priori de la sensibilité ̶ ce en quoi Renouvier voit une catégorie de l'entendement lui-même ̶ et donc de la raison. Le
temps serait alors une idéalité. Comme l'a bien vu Meyerson, l'idéal de la raison serait alors de conjurer l'irréversibilité temporelle ̶ et pour cela réduire et identifier
les événements de l'Univers entre eux ̶ , alors le réel perdrait toute consistance !
Reconnaître à contrario l'irréversibilité, c'est admettre ce jaillissement de nouveautés engendré parfois dans le chaos, parfois par le hasard ̶
ce que révèlent aujourd'hui bon nombre de disciplines scientifiques ̶ au grand dam des déterministes ̶ , c'est la durée.
Pour Bergson, le temps réel s'identifie au mouvement réel de la vie, c'est-à-dire de la durée vécue ̶ qui est indivisible autant
qu’irréversible.
Devons-nous conclure avec Bergson que l'intelligence humaine se caractérise par une incompréhension de la durée (?). Ce serait réduire la conscience à sa
seule capacité de logique déductive, alors même qu'une autre dimension de la conscience nous confère une logique dialectique ̶ qui, par contradictions surmontées, peut nous faire
saisir les lois du devenir.
Le passé n'existe plus et le futur n'existe pas encore nous dit Einstein, et pourtant si nous sommes à chaque instant dans le seul présent ̶ nous
ne pourrions avoir conscience du temps.
En réalité, l'homme a la faculté d'être en conscience dans le temps qui est le flux de l'existence, du devenir ̶ et de se placer tout aussi
consciemment hors du temps : Il est cet « être des lointains » dont parlait Heidegger. Nous pouvons projeter nos rêves et nos soucis sur l'avenir autant que nous pouvons évoquer notre
passé. Ces temps virtuels ne coïncident jamais avec la temporalité réelle.
Ce dépassement virtuel ou cette régression virtuelle de la temporalité révèle un principe de réflexion intrinsèque à notre conscience qui ramène le temps au
« je ».
Je suis, j'étais, je serai... car je pense.
Le temps universel, le temps pur, ne serait-il pas ce que nous nommons le lieu unique à l'heure unique ̶ ne serait-il pas ̶ le
hic et le nunc ̶ l'ici et le maintenant ̶ ,
Orient Éternel qui rassemble et contient Tout et le néant, le chaos et le hasard, le possible de toute chose ; qui contient les deux formes inconciliables de la réalité : la force de destruction
et celle de construction - ce que les Égyptiens déifièrent en Seth et en son neveu Horus.
Nous parlions de raison, et avons cité Auguste Comte parlant de prééminence de l’esprit scientifique : alors que nous démontre la rationalité scientifique à propos de temps :
Les choses qui nous entourent que l’on peut voir ou toucher ont trois dimensions : longueur, largeur, hauteur, mais comme l’avait pressenti Poincaré, il faut à ces trois dimensions d’espace ajouter une quatrième dimension : l’espace-temps. D’un point de vue scientifique chaque rencontre, chaque rendez-vous, correspond à « un événement dans le cône de lumière, au croisement de deux lignes d’Univers. » Dans cet espace-temps courbe dont l’origine se perd en tourbillons de lumière dans le cône cosmologique découvert par Einstein, la distance entre chaque événement est calculée par la métrique de l’espace-temps ou métrique de Lorentz. Cette « distance d’Univers » mesurée par la « métrique de l’espace-temps » correspond à : trois signes positifs pour l’espace, un signe négatif pour le temps. Ce monde-là est le monde de l’atome et des galaxies. C’est le monde où nous vivons. C’est le monde de notre environnement concret dans lequel nous évoluons, nous raisonnons et portons trop souvent des jugements de valeur.
Or plus petit que le monde des galaxies et des atomes, existe un autre monde, bien plus petit que celui des atomes et des particules élémentaires. On le trouve au « Mur de Planck » : la plus petite distance entre deux points d’univers. Dans ce monde-là, le cône de lumière qui permet de mesurer l’espace et le temps, se dissout et finit par s’évaporer dans l’infiniment petit et se mesure par les algèbres de Hopf. Dans ce monde quantique l’espace-temps est ravagé, déformé, s’enroule sur lui-même, le temps n’est plus homogène. Ce monde-là est décrit par les algèbres de Hopf et la théorie quantique.
En
dessous du monde quantique, il y a encore un autre monde. Ce troisième monde, au-delà de la tempête quantique se trouve tout au fond du cône de lumière. La matière, l’énergie, toutes les forces
qui nous sont familières ont disparues : c’est le point zéro de l’Univers. Sans dimension, hors du temps. Invariant, immuable, il ne peut être décrit que par ce que les mathématiciens
appellent « un indice topologique ». Dans ce monde-là, la métrique est euclidienne, il n’y a plus de temps. C’est la théorie topologique des champs. C’est ce que les
initiés appellent l’Orient Éternel.
« Le problème que nous posons, un jour n'existera plus, du fait qu'il n'y aura plus de conscience pour le poser », nous répondrait Claude Lévi-Strauss convaincu par son athéisme
scientifique.
Loin d'un jugement tranché, par lequel nous serions entraînés à tout croire comme Claude Lévi-Strauss l'a été à tout nier ̶ entre idéalité et réalité du temps pur, si toutefois
le doute de l'honnête homme nous habite encore et toujours, méditons alors ce que disait le sage Mani, prophète humaniste venu du pays de Babel pour faire retentir un cri à travers le
monde : « mon espoir est parvenu jusqu'à l'Orient du monde et en tous endroits de la terre habitée. »
Brice Saint Cricq
Écrivain, romancier
Harmoniques
Le Néophyte
Poème symbolique incluant le nombre d’Or
***
Quand l’incandescence splendide
Hier, aujourd’hui, demain confondue,
Inonde sa beauté… et le temps avide
À sa gloire sillonne la nue.
Au miroir, les plis de tes paupières
S’ombragent avec majesté,
Semblent envier à la Lumière
Les secrets de l’éternité.
Silence au Véné : sa voix s’est fait entendre,
Aussi douce que tes serments,
Adoube, pose une accolade tendre,
Texte brûlant de tes désirs fervents.
Quand tu marches au sentier d’allégresse
Humble pérégrin sub rosa et nourri,
De l’arbre sec vers l’arbre fleuri,
Fuyant ce qui n’est ni beauté ni sagesse.
Sur la terre où nous sommes,
Reste semblable à toi, demain ne change pas.
Dans ta marche aux trois pas,
Éternel apprenti, laisse passer les hommes.
Brice Saint Cricq
***
Le nombre d’Or :
Deux divisions inégales par 8/5 de rythmes poétiques rattachés à l’une des séries de Fibonacci :
Ici le rapport 8/5 ou Rondel, très voisin du nombre d’or :
Il exige un vers de huit pieds suivant ou précédant un vers de cinq pieds.
On peut citer un poème de Baudelaire rythmé en 8/5 intitulé le serpent, lequel figure dans Les fleurs du mal.
Bien entendu, un poème qui userait d’un doublet de vers de treize pieds accouplé à un vers de huit pieds, frôlerait de plus près le nombre d’or.
La forme Rondel, instable, plus féminin par le fait du rapport 8/5, peut s’apparenter à certains mouvements de l’âme, à certaines émotions.
Au lecteur d’apprécier.